Un article du Parisien sur les marketing olfactif où mon ami Bruno Daucé est interviewé. La journaliste met en avant que pour attirer le client et le mettre à l’aise, de plus en plus de distributeurs utilisent des parfums dans leurs magasins… Que ce soit pour masquer de mauvaises odeurs ou pour laisser une trace mémorable dans l’esprit du consommateur, le marketing olfactif est promis à un bel avenir selon Pascal Charlier, DG d’Air Berger…
Air Berger a été racheté courant juin par ScentAir, leader mondial du marketing olfactif. L’entreprise affirme que le potentiel est considérable avec une hausse de 20 à 30% de son CA tous les ans. Les grands réseaux, comme les plus petits utilisent cette technique sensorielle.
Avec plus de recul, Bruno, spécialiste du sujet, rappelle tout de même que faire naître une émotion, une atmosphère par les senteurs demeure compliqué. En effet, selon l’expérience des uns et des autres, les souvenirs sensoriels varient énormément : une odeur identique va alors renvoyer à des pensées variées et parfois opposées ! Il relate la mésaventure d’une enseigne hongroise qui avait parfumé son rayon poissonnerie avec une odeur citronnée et iodée. Les salariés ont adoré mais n’ont pas compris pourquoi la direction avait diffusé une odeur de pastèque près du poisson !
Un article intéressant du Parisien qui actualise quelques réalités du marketing sensoriel sans pour autant apporter de réels éléments nouveaux sur le sujet…
source : Le Parisien, 30/08/2013.
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